ECOLOGIE REPRESSIVE OU PROGRESSIVE ?
© Par Olivier ALERS
Publié le 28 Juin 2019
La Vérité sur l’environnement est que chacun se doit de rechercher ce qui n'est pas une donnée toute faite, elle se fait, elle est le fruit de l'effort, de la réflexion et de la recherche. Cette méthode d’analyse a pour but d’éviter d’être intoxiqué par l’actualité du monde politique et des medias, par méconnaissance du sujet.
Cette démarche s’oppose à l’obscurantisme par la recherche de faits incontestables qui font preuve de Vérité établie. Ce travail fondamental sur tous les sujets de l’environnement nous impose une grande lucidité sur tous les événements qui nous concernent pour contrer toutes les manipulations des divers acteurs de ce secteur hétéroclite, très contrasté et constamment trop démagogique. Le citoyen est très souvent perdu par les propos trop fréquemment présentés par des postures idéologiques ahurissantes, qui aboutissent au contraire de l’intérêt général.
Cela finit par créer le détachement pour la majorité des gens voir l’indifférence de ce sujet pourtant primordial pour l’avenir de l’humanité.
Le combat est cependant juste suite la modification climatique, mais la méthode employée jusqu’à présente ne fonctionne pas pour l’adhésion des citoyens.
La raison principale est une présentation sous une forme répressive, par les acteurs de l’écologie politique. Visiblement jusqu’à présent ils n’ont su employer la bonne méthode.
C’est par plus d’électoralisme à l’évidence et par opportuniste qu’ils ont fonctionné que par pédagogie. Ce qui explique en final leur manque de réussite.
L’écologie n’est pas la propriété d’un parti mais d’un pays !
Pour ce faire il suffit, que l’Etat Républicain le garant de l’intérêt général, inscrive dans notre Constitution une définition de ce droit et son obligation.
Cette décision raisonnable à l’avantage d’une part, de contredire au déni des climatosceptiques et au cynisme des pollueurs sans scrupules, et d’autre part de ramener à la raison tous les artistes verts de la provoc des lendemains qui chantent.
La réalité est de faire par constat scientifique ordonné des fait positifs et négatifs.
Cette démarche doit être la plus objective et la plus prévisionnelle qui soit.
C’est l’illustration de l’action pédagogique d’une démarche d’intérêt général.
Elle présente un cycle d’action à entreprendre par les pouvoirs publics, avec l’aide des citoyens des plus jeunes à nos aînés, pour dépasser tous les clivages et les chapelles de tout bord pour éviter toutes les contre Vérités sur l’environnement.
NOUS DEVONS CHANGER NOTRE FAÇON DE PENSER POUR CHANGER NOTRE FAÇON D'AGIR POUR CHANGER NOTRE AVENIR.
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