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  • SEISME

    L’exploitation des gaz de schiste aurait provoqué une douzaine de séismes en Ohio


      Publié le 14 Juillet 2012 


    La qualité de la cimentation des gaz de schiste est un facteur de fuites. 

    Une douzaine de séismes dans le nord-est de l’Ohio ont fort probablement été provoqués par l’injection souterraine d’eaux usées lors du forage de gaz de schiste, a indiqué vendredi le gouvernement de l’État, en annonçant de nouvelles mesures pour serrer la vis aux gazières en matière de fracturation. 

    Les entreprises devront dorénavant soumettre des données géologiques plus complètes au moment de déposer leur requête pour forer un site. 

    Les gazières devront aussi assurer un suivi électronique de la composition chimique de toutes les eaux usées injectées sous pression dans le sol pour fracturer la roche en vue d’en extraire le gaz naturel. 

    Le ministère des Ressources naturelles de l’Ohio a adopté ces nouvelles règles à la lecture des conclusions du rapport sur le puits de Youngstown, des conclusions qui sont basées sur un « certain nombre de circonstances concomitantes »

    Les activités au puits de Youngstown avaient débuté trois mois avant le premier séisme, soulignent notamment les enquêteurs. 

    Ils ont aussi remarqué que l’activité sismique se concentrait autour du trou de forage, et qu’une anomalie dans la roche précambrienne avait depuis été repérée à l’endroit où l’eau avait été injectée. 

    « Les géologues estiment qu’il est très difficile de réunir toutes les conditions pour provoquer des activités sismiques. En fait, toutes les preuves laissent croire que lorsque l’emplacement du puits est adéquat, l’injection n’entraîne pas de séismes. »

    Feu vert d’experts à la fracturation hydraulique en Grande-Bretagne


      Publié le 14 Juillet 2012 

    LONDRES – Des experts nommés par le gouvernement britannique ont recommandé, dans un rapport publié mardi, la poursuite des forages de gaz par fracturation hydraulique, même s’ils reconnaissent que cette technique controversée peut être à l’origine de secousses telluriques. 

    Les trois spécialistes assurent ne voir aucune raison pour que (la société britannique) Cuadrilla ne soit pas autorisée à poursuivre ses activités d’exploration de gisement de gaz de schiste et recommandent la poursuite, avec prudence, des forages par fracturation hydraulique. 

    La firme énergétique britannique Cuadrilla Resources avait interrompu en 2011 ses forages exploratoires dans la région côtière du Lancashire (nord-est de l’Angleterre), après des secousses telluriques de magnitude 2,3 et 1,5 enregistrées dans les environ début avril et fin mai. 

    Cette activité sismique a bien été provoquée par les techniques de fracturation hydraulique employées par Cuadrilla, reconnaît le rapport, confirmant des conclusions d’experts dévoilées en novembre. 

    Ces forages consistaient à fracturer la roche en grande profondeur avec un mélange d’eau et de produits chimiques projeté à haute pression, afin d’en libérer les hydrocarbures, une technique interdite en France et jugée hautement polluante par ses détracteurs, mais très utilisée aux Etats-Unis — où elle a permis de développer l’exploitation de gaz de schiste. 

    Si il n’est pas possible d’exclure catégoriquement de nouvelle secousses sismiques provoquées par cette technique, les auteurs du rapport publié mardi jugent cependant peu probable que, même à leur ampleur maximale estimée, ils entraînent des dégâts structurels en surface. 

    Les trois spécialistes suggèrent donc que l’usage de la fracturation soit autorisé, à condition de s’accompagner d’outils de surveillance plus pointus et d’un protocole mis en place par le ministère de l’énergie en cas d’évènement sismique, impliquant notamment une interruption immédiate des opérations en cas de secousse – même trop faible pour être ressentie à la surface. 

    Aucune décision n’a encore été prise pour autoriser ou non la reprise des forages par fracturation par Cuadrilla, a réagi mardi un porte-parole du ministère britannique de l’Energie. 

    Une période de consultation avec les habitants et les groupements écologistes du Lancashire de six semaines va désormais s’ouvrir, a précisé le ministère. 

    Le directeur exécutif de Cuadrilla, Mark Miller, s’est quant à lui déclaré satisfait de voir les experts conclure que la reprise de la technique de fracturation hydraulique était sans danger, en suivant les procédures conseillées par le rapport. 

    © AFP du 17 avril 2012 



    CYBER PRESSE, Collectifs CARMEN

    Publication du 9 mars 2012 par Julie Car Smyth (Associated Press Columbus, Ohio)

    Une douzaine de séismes dans le nord-est de l'Ohio ont fort probablement été provoqués par l'injection souterraine d'eaux usées lors du forage de gaz de schiste, a indiqué vendredi le gouvernement de l’État, en annonçant de nouvelles mesures pour serrer la vis aux Cie gazières en matière de FRACTURATION.
    Le sous-sol du nord-est de l'Ohio et des États limitrophes recèle la formation géologique de schiste dite "Marcellus" où sont emprisonnées d'importantes réserves de gaz naturel.
    Les compagnies gazières y affluent pour forer des puits en utilisant la technique de fracturation hydraulique. Ce processus prévoit la libération du gaz en injectant de l'eau dans le sol, mais cette eau doit être évacuée une fois que les compagnies l'ont utilisée.

    Photo : Amy Pancetta 'Associated Press'

    (Les activités du puits de Youngstown avaient débutés trois mois avant le premier séisme, soulignent notamment les enquêteurs. Ils ont aussi remarqué que l'activité sismique se concentrait autour du trou de forage, et qu'une anomalie dans la roche précambrienne avait depuis été repérée à l'endroit où l'eau avait été injectée).


    L'Ohio suspend un projet de fracturation hydraulique après des séismes

    Info : No Fracking France
    Publié le 3 janvier 2012 - Agence France Presse - Washington

    L’Ohio a suspendu un projet de fracturation hydraulique à la suite d'une série de 11 petits tremblements de terre provoqués selon des chercheurs par cette technique d'injection d'eau sous-terre, ont indiqué des fonctionnaires de cet État du nord-est des États-Unis.


    Des secousses sismiques imputées à un forage de gaz de schiste en Angleterre

    le 7 novembre 2011 par LAUREK


    Des opérations de forages utilisant la technique de fracturation hydraulique sont très probablement à l'origine de secousses telluriques de 2,3 et 1,5 sur l'échelle de Richter ayant touché la région de Lancashire le 1er avril et le 27 mai 2011. C'est la conclusion de l'étude, menée par la commission d'experts européens et publiée le 2 novembre par la presse Britannique
    Si le gaz de schiste est, selon le centre d'étude LHS-CERA, voué à accroître considérablement les approvisionnements énergétiques européens et mondiaux, les méthodes d'exploitation employées suscitent de nombreuses controverses au sujet de leurs impacts sur les nappes phréatiques.
    Jusqu'à présent, la technique de fracturation hydraulique, interdite en France, souffre d'une absence de réglementation dans de nombreux pays, en matière de traitement des eaux usées issues des extraction de gaz de schiste.

    ___________________________________


    Les intouchables 1901 ® , ayant pu lire de nombreux articles relatifs aux séismes survenues en Grande Bretagne, et qui hélas pourraient également toucher la France, nous devons lutter contre les forages d'exploitations et d'exploration du gaz de schiste par fracturation hydraulique.

    Séisme de Blackpool le 29 mai 2011

    Pour la première fois, des géologues estiment que l'exploitation de gaz de schiste par fracturation hydraulique peut provoquer des SEISMES. En l'occurrence, les deux secousses se sont produites dans le Nord-est de la Grande Bretagne, dans le Lancashire, près de la ville de Blackpool le 1er avril et le 27 mai 2011.

    L'épicentre du séisme du 27 mai se trouve à 2 km de profondeur du site de forage dans le schiste de Bowland. La société CUADRILLA a demandé un rapport à des experts indépendants qui, dans le document du 2 novembre 2011, concluent que l'exploitation du gaz de schiste est la cause la plus probable des séismes.

    D'après leurs analyses, c'est l'injection d'eau sous pression dans la roche après le forage qui serait en cause. Ce fluide aurait en quelque sorte lubrifié une failles existante fragile, prête à rompe.

    Quoi qu'il en soit, c'est la première fois que la fracturation hydraulique est directement liée à un évènement sismique dans le cadre de l'exploitation de gaz de schiste par fracturation - Ce qui est désormais interdit en France -. Deux cas de secousses provoquées par cette même technique mais pour la géothermie ont déjà été établis.
    Source : Sciences et Avenir - Credit : Peter Byrne AP/SISPA
    No FRACKING France - Planet inconnue

    NOUS DEVONS ETRE DE PLUS EN PLUS VIGILANTS


     
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