L’écologie politicienne se mesure en temps perdu.
La transition énergétique doit se mesurer en économie sans perte de temps !
© Par Olivier ALERS
Publié le 24 Mai 2021
Quand un jeune mouvement politique en recherche de notorieté s’est accaparé l’Écologie, à l’époque l’attention des citoyens ne portait pas une grande attention électorale. Pour exister ce parti débutant en politique, a enrôlé forcement des militants en majorité d’une sensibilité iconoplaste à celle qui sont traditionnellement au pouvoir. Alors naît un culture écolo dans les années 1970, farouchement antinucléaires, comme souvent anti-voiture, anti-avion et en générale antiéconomique symbolisé par les ultras plutôt de gauches. Avec le temps, les circonstances politiques, sociales, climatiques, les paramètres changeants, les citoyens commencent à trouver une justification à ce sujet d’intérêt général. Ce jeune mouvement devenu les Verts et par la suite EELV finit par avoir un certain succès associé avec les partis de gauche dans plusieurs circonscriptions. Mais quand on passe de l’opposition à l’exécutif, la réalité dépasse la fiction et toutes les erreurs se paient cash par incompétence ou par des mesures incongrues qui se voulaient seulement symboliques.
Aujourd’hui pour parvenir à la neutralité carbone en 2050, la stratégie nationale fixée par la France table pourtant pour une électrification massive des usages, des industries et des logements, seule façon de remplacer les énergies fossiles. Mais EELV, comme de nombreuses ONG antinucléaires, s'y oppose farouchement. L’incohérence de cette loi, est qu’elle confond la réduction des émissions de CO2, l'objectif, avec la réduction de la consommation de l'énergie. La transformation de la société de consommation est jusqu’à présent, choisie par les Français depuis plusieurs décennies. Elle doit- être certes améliorée sans un changement fondamental de type sociétale, avant que les citoyens ne le décident par les urnes.
A titre d’exemple si une minorité décide de façon péremptoire qu’il faut supprimer tous les véhicules à moteurs utilisant de l’énergie fossile d’ici une dizaine d’années, et même avant si possible, est le point de vue minoritaires d’habitants de grandes villes contre les banlieusards et ceux des campagnes. C’est méconnaitre les contraintes financières géographiques, et administratives des ruraux et des nouvelles régions. Souvenez-vous de la taxe sur les carburants de 4 cts et de la naissance contestataire violente des gilets jaunes contre la capitale hors sol. La problématique est nettement plus complexe que :« y’a qu’à faut qu’on… » après on verra !
Il est vrai qu’en France, même les solutions qui règlent un problème d’intérêt général, se heurtent à chaque fois à l’opposition de quelqu’un, qui entame un train de procédures administratives et judiciaires sans fin, bloquant la réalisation pour le bénéfice du plus grand nombre. Encore trop d’exemples récents sont là pour nous le rappeler de façon inhabile.
La méthode la plus appropriée à base de bon sens, serait qu’avant de supprimer l’existant, d’inventer des solutions techniques d’avenir plus économiques et à terme sans pollution, de se retrouver contrains par idéologie, d’utiliser déjà celles connues à ce jour, réservées à quelques privilégiers fortunés. Toute décision dictatoriale est vouée à l’échec. De nombreux projets technologiques innovants arrivent. Il est temps pour améliorer et résoudre notre quotidien, mais surtout l’avenir de notre planète. (Voir les nombreuses publications de notre blog).
L’Environnement de la planète mérite toute notre attention pour dépasser tous les clivages politiciens. C’est un sujet d’intérêt planétaire dont chaque habitant est le seul propriétaire.
Aujourd’hui pour parvenir à la neutralité carbone en 2050, la stratégie nationale fixée par la France table pourtant pour une électrification massive des usages, des industries et des logements, seule façon de remplacer les énergies fossiles. Mais EELV, comme de nombreuses ONG antinucléaires, s'y oppose farouchement. L’incohérence de cette loi, est qu’elle confond la réduction des émissions de CO2, l'objectif, avec la réduction de la consommation de l'énergie. La transformation de la société de consommation est jusqu’à présent, choisie par les Français depuis plusieurs décennies. Elle doit- être certes améliorée sans un changement fondamental de type sociétale, avant que les citoyens ne le décident par les urnes.
A titre d’exemple si une minorité décide de façon péremptoire qu’il faut supprimer tous les véhicules à moteurs utilisant de l’énergie fossile d’ici une dizaine d’années, et même avant si possible, est le point de vue minoritaires d’habitants de grandes villes contre les banlieusards et ceux des campagnes. C’est méconnaitre les contraintes financières géographiques, et administratives des ruraux et des nouvelles régions. Souvenez-vous de la taxe sur les carburants de 4 cts et de la naissance contestataire violente des gilets jaunes contre la capitale hors sol. La problématique est nettement plus complexe que :« y’a qu’à faut qu’on… » après on verra !
Il est vrai qu’en France, même les solutions qui règlent un problème d’intérêt général, se heurtent à chaque fois à l’opposition de quelqu’un, qui entame un train de procédures administratives et judiciaires sans fin, bloquant la réalisation pour le bénéfice du plus grand nombre. Encore trop d’exemples récents sont là pour nous le rappeler de façon inhabile.
La méthode la plus appropriée à base de bon sens, serait qu’avant de supprimer l’existant, d’inventer des solutions techniques d’avenir plus économiques et à terme sans pollution, de se retrouver contrains par idéologie, d’utiliser déjà celles connues à ce jour, réservées à quelques privilégiers fortunés. Toute décision dictatoriale est vouée à l’échec. De nombreux projets technologiques innovants arrivent. Il est temps pour améliorer et résoudre notre quotidien, mais surtout l’avenir de notre planète. (Voir les nombreuses publications de notre blog).
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