Il ne suffit pas de dire les choses à faire
Il faut les faire !
© Par Olivier ALERS
Publié le 23 Juin 2021
Les autorités françaises sont très bureaucratiques et centralisatrices et ne savent pas dès l’origine d’un conflit, d’une catastrophe ou d’un évènement important, prendre les mesures adéquates qui s’imposent pour répondre dans l’urgence et résoudre le problème et son classement. A chaque fois, tous les grands experts de la communication, les experts politologues, et les grands chefs de partis passent à côté, par un manque criant d’analyse du phénomène touchant les citoyens et surtout leurs réactions immédiates sous forme de : ‘’mauvaise humeur.’’ Ils ne comprennent que les luttes sectorielles de la fonction publique ou apparentées, sont résolues par la planche à billets du contribuable.
De ce fait, le temps de réponse est inefficace, inadapté et trop éloigné de la solution. Il amplifie les revendications bien au-delà du raisonnable pour régler le problème, type gilets jaune.
Les citoyens ont compris depuis longtemps que nos dirigeants nationaux étaient hors sol face aux difficultés du vivre ensemble pour la majorité de la population qui n’a pas d’autre choix à ce jour, que de subir dans la contrainte et le mécontentement.
Devant chaque crise sociétale de notre pays tous les Pouvoirs Politiques utilisent une série de paravent par manque courage et d’anticipation qui sert de stratégie d’évitement !
L’histoire est là pour nous rappeler, qu’à chaque crise, la situation nous entraine vers un risque de conflit à la française dont nous avons le secret. Présentement, nous ne sommes ni dans le rationnel, ni dans la prospective objective de la gestion de cette crise financière et sociale.
Pour les autorités, Il faut gagner du temps pour calmer les vacanciers sur nos routes et nos campagnes. Le but est d’éviter d’entrainer certains de nos citoyens à l’adhésion aux mouvements populistes extrémistes aux aguets ! Mais surtout à la rentrée, par désillusion vers des actions de rue contestataires et hostiles au monde politique de tout bord, en perspective des élections présidentielles.
Cependant depuis près de 30 ans pour beaucoup de nos citoyens : ‘’l’État Providence peut tout et leur doit tout’’. Mais il est maintenant en sursis, ayant atteint le seuil national très préoccupant de nos finances. C’est la conséquence de la gestion erratique socio-économique de notre pays, et en plus la crise sanitaire qui a provoqué notre endettement à de 120% de notre PIB. Nous avons atteint le 1er taux record Européen des prélèvements de l’impôt sur le revenu pour les 42% des foyers français assujettis. La problématique de l’équation à résoudre est comment payer les dettes ? :« Ya qua faire payer les riches ».
Irréaliste, sauf à changer de régime politique. Nous avons vu les conséquences désastreuses du passé avec l’exode des capitaux vers d’autres pays, pratiquants une politique favorable à la détaxation partielle du capital par l’investissement industriel.
Notre situation socio-économique nous impose en urgence, une réflexion de prospective avec sérénité devant les choix et les actions à entreprendre pour résoudre nos difficultés de façon équitables et partagées. Ceux-ci ne doivent plus être ni conjoncturels ni à court terme, mais basés sur un projet quinquennal stratégique, construit comme ceux qui nous ont permis de sortir du sous-développement systémique des années 60 et qui doivent tenir compte en plus des facteurs de l’environnement, de la transition énergétique, et plus généralement la recherche du mieux vivre en sécurité dans notre pays.
Il y a urgence que des mesures soient proposées par un plan national d’intérêt général. Préalablement Accepté et Voté par une Majorité d’Électeurs, pour enfin sortir du Dire par le Faire Bien.
De ce fait, le temps de réponse est inefficace, inadapté et trop éloigné de la solution. Il amplifie les revendications bien au-delà du raisonnable pour régler le problème, type gilets jaune.
Les citoyens ont compris depuis longtemps que nos dirigeants nationaux étaient hors sol face aux difficultés du vivre ensemble pour la majorité de la population qui n’a pas d’autre choix à ce jour, que de subir dans la contrainte et le mécontentement.
Devant chaque crise sociétale de notre pays tous les Pouvoirs Politiques utilisent une série de paravent par manque courage et d’anticipation qui sert de stratégie d’évitement !
L’histoire est là pour nous rappeler, qu’à chaque crise, la situation nous entraine vers un risque de conflit à la française dont nous avons le secret. Présentement, nous ne sommes ni dans le rationnel, ni dans la prospective objective de la gestion de cette crise financière et sociale.
Pour les autorités, Il faut gagner du temps pour calmer les vacanciers sur nos routes et nos campagnes. Le but est d’éviter d’entrainer certains de nos citoyens à l’adhésion aux mouvements populistes extrémistes aux aguets ! Mais surtout à la rentrée, par désillusion vers des actions de rue contestataires et hostiles au monde politique de tout bord, en perspective des élections présidentielles.
Cependant depuis près de 30 ans pour beaucoup de nos citoyens : ‘’l’État Providence peut tout et leur doit tout’’. Mais il est maintenant en sursis, ayant atteint le seuil national très préoccupant de nos finances. C’est la conséquence de la gestion erratique socio-économique de notre pays, et en plus la crise sanitaire qui a provoqué notre endettement à de 120% de notre PIB. Nous avons atteint le 1er taux record Européen des prélèvements de l’impôt sur le revenu pour les 42% des foyers français assujettis. La problématique de l’équation à résoudre est comment payer les dettes ? :« Ya qua faire payer les riches ».
Irréaliste, sauf à changer de régime politique. Nous avons vu les conséquences désastreuses du passé avec l’exode des capitaux vers d’autres pays, pratiquants une politique favorable à la détaxation partielle du capital par l’investissement industriel.
Notre situation socio-économique nous impose en urgence, une réflexion de prospective avec sérénité devant les choix et les actions à entreprendre pour résoudre nos difficultés de façon équitables et partagées. Ceux-ci ne doivent plus être ni conjoncturels ni à court terme, mais basés sur un projet quinquennal stratégique, construit comme ceux qui nous ont permis de sortir du sous-développement systémique des années 60 et qui doivent tenir compte en plus des facteurs de l’environnement, de la transition énergétique, et plus généralement la recherche du mieux vivre en sécurité dans notre pays.
Il y a urgence que des mesures soient proposées par un plan national d’intérêt général. Préalablement Accepté et Voté par une Majorité d’Électeurs, pour enfin sortir du Dire par le Faire Bien.
NOUS DEVONS CHANGER NOTRE FAÇON DE PENSER POUR CHANGER NOTRE FAÇON D'AGIR POUR CHANGER NOTRE AVENIR. C'EST NOTRE SEULE SOLUTION POUR PRESERVER NOTRE PLANETE !
|
lesintouchables1901@gmail.com
www.touchepasmaroche-mere.blogspot.fr
Partager en 1 clic :
Imprimer ou télécharger en PDF cet article :
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire