ÉCOLOGIE : IDEOLOGIE POLITIQUE OU UTOPIE INDIVIDUELLE ?
© Par Olivier ALERS
Publié le 24 Décembre 2021
La Vérité sur l’écologie est que chacun se doit de rechercher ce qui n'est pas une donnée toute faite.
Elle doit-être le fruit de la réflexion et de l’effort de recherche sur l’environnement plus globalement.
Ce système d’analyse a pour but d’éviter d’être manipulé par l’actualité du monde politique par méconnaissance du sujet.Au vu de la multitude des publications, des conférences, des médias, il n’est pas aisé sans être un expert de se faire une opinion réaliste et d’éviter un militantisme sectaire.
Cette démarche s’oppose à l’obscurantisme par la recherche de faits incontestables qui font preuve de connaissances établies. Ce travail fondamental sur tous les sujets de l’environnement nous impose une grande lucidité sur tous les événements qui nous concernent. C’est le moyen pour contrer toutes les manipulations des divers acteurs de ce secteur hétéroclite, constamment excessif et trop démagogique.
Le citoyen est très souvent perdu par les propos trop fréquemment présentés par des postures idéologiques ahurissantes, qui aboutissent au contraire de l’intérêt général.
Cela finit par créer le détachement pour la majorité des gens, voire l’indifférence de ce sujet pourtant primordial pour l’avenir non seulement de notre pays mais de l’humanité.
Le combat de ce sujet est cependant réellement justifié à la suite des modifications climatiques et des nombreuses catastrophes environnementales, sanitaires et alimentaire dans le monde depuis longtemps.
Les arguments et la méthode employés jusqu’à présent ne fonctionnent pas pour obtenir l’adhésion massive des électeurs. La raison principale est une présentation sous une forme répressive, par les acteurs doctrinaires de l’écologie politique. D’autant plus que ceux qui en ont fait dans leur programme électoral, le sujet principal pour être élu, on bien vite oublié sa mise en œuvre, arrivé au pouvoir. Ils ont fonctionné à l’évidence par démagogie et par opportunité électoraliste.
Le domaine de l’écologie est trop important pour laisser faire croire que c’est la démarche d’un seul parti « progressive de gauche et solidaire » ». Visiblement jusqu’à présent ils n’ont pas su en faire la démonstration, ni employer la bonne méthode.Ce qui explique en final leur manque de réussite.
L’écologie n’est pas la propriété ni d’un parti politique, ni d’un pays mais de toute l’humanité !
La réalité est de faire le constat scientifique ordonné des fait positifs et négatifs. Cette démarche doit être la plus objective et la plus prévisionnelle qui soit.C’est l’illustration de l’action pédagogique d’un sujet d’Intérêt général. Elle présente un cycle d’action à entreprendre à moyen et longs termes par les pouvoirs publics, sur plusieurs quinquennats.
C’est seulement avec l’aide de tous les citoyens des plus jeunes à nos aînés, que tous les clivages et les chapelles de tout bord seront dépassés. C’est la méthode pour éviter toutes les contre-vérités sur l’écologie politicienne au profit de la protection positive de l’environnement.
Pour ce faire, il suffit de voter par le Parlement un Plan, que l’État Républicain garant de l’intérêt général, Inscrive dans notre Constitution une définition de ce droit et son obligation.Cette décision raisonnable à l’avantage d’une part, de contredire au déni des climatosceptiques et au cynisme des pollueurs sans scrupules.
Et d’autre part de ramener à la raison, tous les écolos de la provoc révolutionnaire des lendemains qui chantent.
Elle doit-être le fruit de la réflexion et de l’effort de recherche sur l’environnement plus globalement.
Ce système d’analyse a pour but d’éviter d’être manipulé par l’actualité du monde politique par méconnaissance du sujet.Au vu de la multitude des publications, des conférences, des médias, il n’est pas aisé sans être un expert de se faire une opinion réaliste et d’éviter un militantisme sectaire.
Cette démarche s’oppose à l’obscurantisme par la recherche de faits incontestables qui font preuve de connaissances établies. Ce travail fondamental sur tous les sujets de l’environnement nous impose une grande lucidité sur tous les événements qui nous concernent. C’est le moyen pour contrer toutes les manipulations des divers acteurs de ce secteur hétéroclite, constamment excessif et trop démagogique.
Le citoyen est très souvent perdu par les propos trop fréquemment présentés par des postures idéologiques ahurissantes, qui aboutissent au contraire de l’intérêt général.
Cela finit par créer le détachement pour la majorité des gens, voire l’indifférence de ce sujet pourtant primordial pour l’avenir non seulement de notre pays mais de l’humanité.
Le combat de ce sujet est cependant réellement justifié à la suite des modifications climatiques et des nombreuses catastrophes environnementales, sanitaires et alimentaire dans le monde depuis longtemps.
Les arguments et la méthode employés jusqu’à présent ne fonctionnent pas pour obtenir l’adhésion massive des électeurs. La raison principale est une présentation sous une forme répressive, par les acteurs doctrinaires de l’écologie politique. D’autant plus que ceux qui en ont fait dans leur programme électoral, le sujet principal pour être élu, on bien vite oublié sa mise en œuvre, arrivé au pouvoir. Ils ont fonctionné à l’évidence par démagogie et par opportunité électoraliste.
Le domaine de l’écologie est trop important pour laisser faire croire que c’est la démarche d’un seul parti « progressive de gauche et solidaire » ». Visiblement jusqu’à présent ils n’ont pas su en faire la démonstration, ni employer la bonne méthode.Ce qui explique en final leur manque de réussite.
L’écologie n’est pas la propriété ni d’un parti politique, ni d’un pays mais de toute l’humanité !
La réalité est de faire le constat scientifique ordonné des fait positifs et négatifs. Cette démarche doit être la plus objective et la plus prévisionnelle qui soit.C’est l’illustration de l’action pédagogique d’un sujet d’Intérêt général. Elle présente un cycle d’action à entreprendre à moyen et longs termes par les pouvoirs publics, sur plusieurs quinquennats.
C’est seulement avec l’aide de tous les citoyens des plus jeunes à nos aînés, que tous les clivages et les chapelles de tout bord seront dépassés. C’est la méthode pour éviter toutes les contre-vérités sur l’écologie politicienne au profit de la protection positive de l’environnement.
Pour ce faire, il suffit de voter par le Parlement un Plan, que l’État Républicain garant de l’intérêt général, Inscrive dans notre Constitution une définition de ce droit et son obligation.Cette décision raisonnable à l’avantage d’une part, de contredire au déni des climatosceptiques et au cynisme des pollueurs sans scrupules.
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