SERVICE PUBLIC ! QUAND ?
© Par Olivier ALERS
Publié le 27 Février 2023
Devant la mondialisation, notre administration pléthorique avec ses coûts exorbitants, ne sait plus s’adapter ni répondre aux changements de notre société, ni aux services de tous qu’il est urgent de reformer avec efficacité.
La raison politique principale, est le manque de réalisme sans la recherche systématique de l’intérêt général de celui qui produit par son travail et de l’autre qui l’administre.
Le pouvoir centralisé est devenu impuissant et déconnecté du monde réel.
Les attentes des citoyens, l’expression de leur opinion par les réseaux sociaux sont en décalage entre l’offre et la demande de leurs besoins. Tous les problèmes socio - politiques du pouvoir passé, présent et les réactions des citoyens sont la démonstration désespérante de toutes les erreurs accumulées au détriment de l’intérêt général. Mais chacun a sa part.
Le citoyen veut tout de l’état providence, mais l’état ne sait plus comment faire par son manque d’anticipation dans trop de domaines où il a voulu intervenir directement sans en avoir ni le niveau, ni la compétence, ni le sens du compromis.
La facture de nos déficits gigantesques atteint près de 3.000 milliards. Elle est portée malheureusement au seul déficit de notre Pays et de son affaiblissement international. Des secteurs publics entiers sont en difficultés financières : Energie, Santé, Sécurité, Militaire, et tant d’autres par suite des choix : « Du quoi qu’il en coûte. »
C’est un préjudice pour la France qui devra se relever dans la douleur pour solder ses dettes. L’addition est devenue trop colossale avec près de 20 ans d’une politique trop démagogue sans courage et trop souvent marquée d’incompétences et surtout de clientélisme sectaire. Ce système politique consternant ne sait réagir qu’en fonction de chacune des exaspérations des catégories sociales des Français.
La transition énergétique prise comme solution de priorité politique ne doit pas cacher que ce n’est qu’un paramètre de notre avenir incertain.
La guerre en Ukraine devrait nous sensibiliser aux terribles conséquences qui ne vont pas manquer de nous atteindre comme toute l’Europe.
Pourtant notre histoire devrait nous rappeler nos erreurs fondamentales très récurrentes.
Nous sommes les grands spécialistes du court terme et du laisser-faire.
Nous ne réagissons que dans l’urgence avec amateurisme devant les « éléments ».
Pour remettre en ordre le système régalien en cause trop souvent défectueux, il faut appeler à l’aide les spécialistes de la discipline sans tarder pour en tirer les leçons.
La raison politique principale, est le manque de réalisme sans la recherche systématique de l’intérêt général de celui qui produit par son travail et de l’autre qui l’administre.
Le pouvoir centralisé est devenu impuissant et déconnecté du monde réel.
Les attentes des citoyens, l’expression de leur opinion par les réseaux sociaux sont en décalage entre l’offre et la demande de leurs besoins. Tous les problèmes socio - politiques du pouvoir passé, présent et les réactions des citoyens sont la démonstration désespérante de toutes les erreurs accumulées au détriment de l’intérêt général. Mais chacun a sa part.
Le citoyen veut tout de l’état providence, mais l’état ne sait plus comment faire par son manque d’anticipation dans trop de domaines où il a voulu intervenir directement sans en avoir ni le niveau, ni la compétence, ni le sens du compromis.
La facture de nos déficits gigantesques atteint près de 3.000 milliards. Elle est portée malheureusement au seul déficit de notre Pays et de son affaiblissement international. Des secteurs publics entiers sont en difficultés financières : Energie, Santé, Sécurité, Militaire, et tant d’autres par suite des choix : « Du quoi qu’il en coûte. »
C’est un préjudice pour la France qui devra se relever dans la douleur pour solder ses dettes. L’addition est devenue trop colossale avec près de 20 ans d’une politique trop démagogue sans courage et trop souvent marquée d’incompétences et surtout de clientélisme sectaire. Ce système politique consternant ne sait réagir qu’en fonction de chacune des exaspérations des catégories sociales des Français.
La transition énergétique prise comme solution de priorité politique ne doit pas cacher que ce n’est qu’un paramètre de notre avenir incertain.
La guerre en Ukraine devrait nous sensibiliser aux terribles conséquences qui ne vont pas manquer de nous atteindre comme toute l’Europe.
Pourtant notre histoire devrait nous rappeler nos erreurs fondamentales très récurrentes.
Nous sommes les grands spécialistes du court terme et du laisser-faire.
Nous ne réagissons que dans l’urgence avec amateurisme devant les « éléments ».
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