L’ETAT : DANS QUEL ETAT ?
© Par Olivier ALERS
Publié le 26 Juin 2023
Devant la mondialisation, le système de notre administration pléthorique avec ses coûts exorbitants, ne sait plus ni s’adapter ni répondre aux changements de notre société. Il est urgent de « mettre à niveau » et « de reformer » avec efficacité pour être au service de tous.
Depuis l’après-guerre notre pays fonctionne toujours sous forme d’une politique centralisée sous la tutelle d’une économie administrée par les divers composants de notre république. La lourdeur de notre fonctionnement étatique est telle que toute notre structure patine et n’est plus au niveau primordial de sa fonction sociale et plus particulièrement économique devenue hors norme et souvent incompréhensible.
Le pouvoir centralisé est devenu impuissant et déconnecté au monde réel, devant les attentes des citoyens, par l’expression de leur opinion des réseaux sociaux en décalage entre l’offre et la demande voir aux difficultés de leurs besoins. Pour paraître réactif, le pouvoir ne sait plus que communiquer avec tout l’attirail médiatique à longueur d’espaces temps.
Ce système politique consternant ne sait réagir qu’en fonction de chacune des exaspérations des catégories sociales des Français, par de la propagande politique.
La facture de nos déficits gigantesques est portée malheureusement au seul déficit de notre Pays et de son affaiblissement international. C’est un préjudice pour la France qui devra se relever dans la douleur pour solder nos dettes. L’addition est devenue trop colossale avec près de 20 ans d’une politique trop démagogue sans courage et trop souvent marquée d’incompétences et surtout de clientélisme sectaire.
Tous les problèmes socio - politiques du pouvoir passé, présent et les réactions des citoyens sont la démonstration désespérante de toutes les erreurs accumulées au détriment de l’intérêt général. Chacun à sa part. Le citoyen qui veut tout de l’état providence, mais cet état ne sait plus comment faire.
La raison politique principale, est le manque de réalisme sans la recherche systématique de l’intérêt général par le compromis de celui qui produit et de l’autre qui administre. Nous sommes les grands spécialistes du court terme et du laisser-faire ne réagissant que dans l’urgence devant les « éléments » pourtant prévisibles, que nos voisins ont su anticiper.
C’est par la mise en place de cette synthèse politique que chacun à sa place et face à ses responsabilités, peut et doit contribuer à améliorer la situation de notre pays. Il nous faut tirer les leçons courageuses de notre histoire pour faire face à nos obligations de citoyens.
Depuis l’après-guerre notre pays fonctionne toujours sous forme d’une politique centralisée sous la tutelle d’une économie administrée par les divers composants de notre république. La lourdeur de notre fonctionnement étatique est telle que toute notre structure patine et n’est plus au niveau primordial de sa fonction sociale et plus particulièrement économique devenue hors norme et souvent incompréhensible.
Le pouvoir centralisé est devenu impuissant et déconnecté au monde réel, devant les attentes des citoyens, par l’expression de leur opinion des réseaux sociaux en décalage entre l’offre et la demande voir aux difficultés de leurs besoins. Pour paraître réactif, le pouvoir ne sait plus que communiquer avec tout l’attirail médiatique à longueur d’espaces temps.
Ce système politique consternant ne sait réagir qu’en fonction de chacune des exaspérations des catégories sociales des Français, par de la propagande politique.
La facture de nos déficits gigantesques est portée malheureusement au seul déficit de notre Pays et de son affaiblissement international. C’est un préjudice pour la France qui devra se relever dans la douleur pour solder nos dettes. L’addition est devenue trop colossale avec près de 20 ans d’une politique trop démagogue sans courage et trop souvent marquée d’incompétences et surtout de clientélisme sectaire.
Tous les problèmes socio - politiques du pouvoir passé, présent et les réactions des citoyens sont la démonstration désespérante de toutes les erreurs accumulées au détriment de l’intérêt général. Chacun à sa part. Le citoyen qui veut tout de l’état providence, mais cet état ne sait plus comment faire.
La raison politique principale, est le manque de réalisme sans la recherche systématique de l’intérêt général par le compromis de celui qui produit et de l’autre qui administre. Nous sommes les grands spécialistes du court terme et du laisser-faire ne réagissant que dans l’urgence devant les « éléments » pourtant prévisibles, que nos voisins ont su anticiper.
C’est par la mise en place de cette synthèse politique que chacun à sa place et face à ses responsabilités, peut et doit contribuer à améliorer la situation de notre pays. Il nous faut tirer les leçons courageuses de notre histoire pour faire face à nos obligations de citoyens.
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