L’ECOLOGIE : MAIS QUEL CLIMAT !
© Par Olivier ALERS
Publié le 29 Novembre 2024
La transition environnementale est le sujet fondamental qui est face à nous. Cette
problématique est trop souvent abordée soit de façon démagogique, radicale ou
contrairement conservatrice et timorée.
La stratégie de communication de la rue a été la manœuvre par la contestation politique partisane par des manifestations extrémistes violentes pour se positionner en fonction des élections législatives.
On ne peut être plus que perplexe par la méthode employée par tous les réseaux sociaux, les black block, et les partis politiques qui se sont appropriés de façon exclusive ce sujet. « Leurs exploits » largement médiatisés, avec le soutien stratégique du pouvoir précédent ont été le moyen tactique et opportuniste d’obtenir des militants sectaires dans les diverses assemblées politiques.
Cette cause sensible est présentée et traitée toujours de manière polémique, négative et caricaturale depuis trop longtemps avec l’effet contraire à l’objectif recherché pour sensibiliser les citoyens. De plus les militants contestent systématiquement avec arrogance arbitraire toute réunion ou débat d’idées avec tous les opérateurs publics ou privés représentatifs du secteur. Le traitement politique à l’Assemble Nationale est très souvent affligeant voir à contre-courant de l’intérêt du sujet.
Dès à présent, il appartient aux futurs candidats avant chaque Élection Présidentielle, d’indiquer aux citoyens leurs choix et leurs orientations de leur politique écologique et environnementale pour l’appliquer dès leur élection, en toute connaissance de cause.
A présent, le juste équilibre réaliste se situe d’une série mesures de l’exécutif à court terme pour réparer l’urgence à moyen terme de préparer l’opinion des citoyens à des adaptations sociétales conséquentes, par une action pédagogique et soutenir cette cause fondamentale d’intérêt générale.
A contrario, les exemples des politiques mises en œuvre aux Amériques, nous montrent les effets dévastateurs de l’application et la précipitation de la « politique pétrolière idéologique & géopolitique des huiles et gaz de schiste », qui semblait répondre à tous les problèmes économiques d’avenir de nos sociétés, et du monde en général. Remarquons que nos grands experts français à longueur de publications nous abreuvaient de leurs recommandations à suivre au plus vite cette voie, pour régler nos déficits en énergie fossiles. Ils sont subitement devenus silencieux face aux désastres environnementaux et à l’importation de ces produits sur notre sol.
L’éternel apprenti sorcier que nous sommes face aux évènements, devrait nous inciter à faire preuve de bon sens, et de beaucoup plus de modestie. Il est navrant de constater que le cumul d’erreurs s’amplifie, sans que les décideurs reconnaissent leurs sorties de route, en faisant appel à d’autres utopistes des charmeurs de serpents, qui finissent par démobiliser le citoyen raisonnable et inquiet de son avenir.
La stratégie de communication de la rue a été la manœuvre par la contestation politique partisane par des manifestations extrémistes violentes pour se positionner en fonction des élections législatives.
On ne peut être plus que perplexe par la méthode employée par tous les réseaux sociaux, les black block, et les partis politiques qui se sont appropriés de façon exclusive ce sujet. « Leurs exploits » largement médiatisés, avec le soutien stratégique du pouvoir précédent ont été le moyen tactique et opportuniste d’obtenir des militants sectaires dans les diverses assemblées politiques.
Cette cause sensible est présentée et traitée toujours de manière polémique, négative et caricaturale depuis trop longtemps avec l’effet contraire à l’objectif recherché pour sensibiliser les citoyens. De plus les militants contestent systématiquement avec arrogance arbitraire toute réunion ou débat d’idées avec tous les opérateurs publics ou privés représentatifs du secteur. Le traitement politique à l’Assemble Nationale est très souvent affligeant voir à contre-courant de l’intérêt du sujet.
Dès à présent, il appartient aux futurs candidats avant chaque Élection Présidentielle, d’indiquer aux citoyens leurs choix et leurs orientations de leur politique écologique et environnementale pour l’appliquer dès leur élection, en toute connaissance de cause.
A présent, le juste équilibre réaliste se situe d’une série mesures de l’exécutif à court terme pour réparer l’urgence à moyen terme de préparer l’opinion des citoyens à des adaptations sociétales conséquentes, par une action pédagogique et soutenir cette cause fondamentale d’intérêt générale.
A contrario, les exemples des politiques mises en œuvre aux Amériques, nous montrent les effets dévastateurs de l’application et la précipitation de la « politique pétrolière idéologique & géopolitique des huiles et gaz de schiste », qui semblait répondre à tous les problèmes économiques d’avenir de nos sociétés, et du monde en général. Remarquons que nos grands experts français à longueur de publications nous abreuvaient de leurs recommandations à suivre au plus vite cette voie, pour régler nos déficits en énergie fossiles. Ils sont subitement devenus silencieux face aux désastres environnementaux et à l’importation de ces produits sur notre sol.
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