REVEIL ECOLOGIQUE OU POSTURE POLITICIENNE ?
© Par Olivier ALERS
Publié le 24 Juillet 2020
Aujourd’hui, comme les résultats de nos parlements ne plaisent pas aux oppositions diverses, elles tentent de créer des institutions parallèles, pour tenter de prendre le pouvoir. Ce phénomène sous-jacent depuis des lustres pour tous les militants contestataires s'inscrit dans une attaque plus générale des institutions existantes, qui sont remises en cause une à une, et de façon croissante.
La convention tirée au sort pour répondre à la révolte des « gilets jaunes » est la représentation de cette social-démocratie qui accepte toutes les règles du marché mais tente de l'infléchir par la fiscalité. Taxer ce qui est néfaste pour orienter vers ce qui est vertueux.
Par contre, pour ceux qui ont conduit le mouvement les plus extrémistes les conclusions sont reçues comme Écologie punitive et idéologique, avec l’effet d'agir contre la volonté des plus vulnérables et de les appauvrir.
Pour notre pays, l’explication serait l’omniprésence de l’appareil d’état qui finit par son centralisme créer l’inertie.Les procédures qui cachent le manque d’anticipation à résoudre les problèmes des citoyens. Comme le démontrent les derniers évènements politique liés à la crise sanitaire. L’inefficacité des services publics et leur dysfonctionnement ont engendré un changement de gouvernementen urgence.
Un État composé de groupe élitisme qui ne sait ni entendre ni savoir-faire pour répondre aux aspirations les plus profondes des citoyens est à terme condamné à retourner à ses chères études pour apprendre : le savoir écouter, et apprendre à faire ! L’utilisation de la communication sous forme de propagande, démontre ses propres limites par le taux record d’abstention à chaque l’élection, et particulièrement celles des dernières municipales.
Pour les Français, la dégradation climatique est une donnée généralement acquise par la majorité des citoyens. Paradoxalement la division n’est qu’entre les mouvements vert. Les radicales, les prophètes de l’Apocalypse et les partis politiques en recherche d’électeurs déçus des partis traditionnels défaillants. Autre paradoxe tous ces groupes, font aussi très attention à ne jamais crier victoire, même quand leur cause avance ! C’est pourtant le cas pour nos grandes villes aux dernières élections !
C’est parce que nous sommes plus nombreux à faire l'effort de s'intéresser à l'état des sols, détruits par l'agriculture intensive et le béton des zones commerciales, à la biodiversité, à la pollution et la gestion des eaux, et des énergies, qu’il nous faut agir.
Déjà devant chez nous, pas seulement pour le tri de nos déchets, qui est la moindre des choses.Mais maintenant en local, pour accompagner activement nos représentants élus en acceptant notre offre. En espérant qu’ils l’acceptent en sortant peut-être des préjugés. Il est vrai que le Maire est accablé de responsabilités administratives, juridiques bien au-delà du raisonnable, sous la contrainte de l’État Jacobin.Avec la participation plus active des citoyens certains sujets dont l’environnement pourraient impliquer d’avantage la population à soutenir les actions d’intérêt générale de la commune.Les résultats positifs serviraient d’exemples à dupliquer à la région. Cette contribution du citoyen au service de notre communauté, serait l’application réelle du principe de la participation.
NOUS DEVONS CHANGER NOTRE FAÇON DE PENSER POUR CHANGER NOTRE FAÇON D'AGIR POUR CHANGER NOTRE AVENIR.
C'EST NOTRE SEULE SOLUTION ! |
lesintouchables1901@gmail.com
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