PROTEGER LE BIEN COMMUN* POUR ESPERER EVITER LA CATASTROPHE !
*le Bien Commun est la définition sur le plan mondial des scientifiques de l’écologie, dont chacun est : Le co-propriétaire sans titre de vente.
© Par Olivier ALERS
Publié le 25 Mai 2022
Le projet de planification écologique du nouveau quinquennat, impose une coordination de tous les acteurs sociaux, territoriaux et des élus de tous les échelons.
Pour réussir à mettre tout le monde d’accord, ce ne serait plus un exploit mais un prodige rarissime, même si l’urgence d’agir est plus que nécessaire pour toute l’humanité.
Mais à nos portes en plus intervient les élucubrations d’un despote à très haut risque pour la paix du monde. Comment raison garder pour gérer au mieux : « Entre la protection de la planète et la destruction par la guerre mondiale ».
Le choix qui s’impose c’est l’évitement des deux risques. A noter la définition du dictionnaire et le sens : « Les solutions à l'évitement pathologique comprennent la modification ou l'élimination des conditions qui ont donné lieu au facteur de stress et la modification de la perception d'une expérience d'une manière qui neutralise le problème ». Au vu du personnage mise en cause, la victoire est loin d’être acquise raisonnablement pour solutionner le problème.
Beaucoup de transformations subies par notre pays ces dernières années se sont réalisées pour faire face aux besoins électoraux de chacune des catégories sociales, dont le candidat élu répondait le mieux à leur choix.
Ce qui n’était pas le choix simple, face à deux politiques traditionnelles bien inscrites dans notre histoire. Les dernières alliances ont modifié l’offre politique en trois offres pour définir celle qui sera la plus adéquate pour répondre aux préoccupations des citoyens.
Sans une réforme profonde et durable, basée sur l’intérêt général prenant en compte la situation des salariés, des entrepreneurs, de l’industrie et du commerce, l’équation est pratiquement impossible pour satisfaire chaque catégorie de français.
Les innovations technologiques vertes ne règlent pas tout, tout de suite. Il nous faudra réinventer pour répondre au nouveau modèle de mode de vie de la population. Ceci demande un courage politique pour soutenir un nouveau projet de société. L’objectif d’intérêt général est prioritaire pour tenir les délais, le budget et la réalisation conforme au projet, il faut éviter les blocages de notre technocratie trop procrastine !
Notre histoire récente nous rappelle que dès que la décision d’intérêt nationale est prise par le pouvoir, tout devient possible pour éviter l’apocalypse annoncé par les scientifiques.
La seule méthode est de faire les choix stratégiques clairement assumés, identifiés et annoncés publiquement, sous forme d’un Plan National sous la responsabilité d’un seul responsable Haut-Commissaire au plan.
C’est la seule méthode réaliste de bonne gestion administrative et politique pour que les citoyens enfin, puissent enfin espérer sauvegarder notre Bien Commun.
Pour réussir à mettre tout le monde d’accord, ce ne serait plus un exploit mais un prodige rarissime, même si l’urgence d’agir est plus que nécessaire pour toute l’humanité.
Mais à nos portes en plus intervient les élucubrations d’un despote à très haut risque pour la paix du monde. Comment raison garder pour gérer au mieux : « Entre la protection de la planète et la destruction par la guerre mondiale ».
Le choix qui s’impose c’est l’évitement des deux risques. A noter la définition du dictionnaire et le sens : « Les solutions à l'évitement pathologique comprennent la modification ou l'élimination des conditions qui ont donné lieu au facteur de stress et la modification de la perception d'une expérience d'une manière qui neutralise le problème ». Au vu du personnage mise en cause, la victoire est loin d’être acquise raisonnablement pour solutionner le problème.
Beaucoup de transformations subies par notre pays ces dernières années se sont réalisées pour faire face aux besoins électoraux de chacune des catégories sociales, dont le candidat élu répondait le mieux à leur choix.
Ce qui n’était pas le choix simple, face à deux politiques traditionnelles bien inscrites dans notre histoire. Les dernières alliances ont modifié l’offre politique en trois offres pour définir celle qui sera la plus adéquate pour répondre aux préoccupations des citoyens.
Sans une réforme profonde et durable, basée sur l’intérêt général prenant en compte la situation des salariés, des entrepreneurs, de l’industrie et du commerce, l’équation est pratiquement impossible pour satisfaire chaque catégorie de français.
Les innovations technologiques vertes ne règlent pas tout, tout de suite. Il nous faudra réinventer pour répondre au nouveau modèle de mode de vie de la population. Ceci demande un courage politique pour soutenir un nouveau projet de société. L’objectif d’intérêt général est prioritaire pour tenir les délais, le budget et la réalisation conforme au projet, il faut éviter les blocages de notre technocratie trop procrastine !
Notre histoire récente nous rappelle que dès que la décision d’intérêt nationale est prise par le pouvoir, tout devient possible pour éviter l’apocalypse annoncé par les scientifiques.
La seule méthode est de faire les choix stratégiques clairement assumés, identifiés et annoncés publiquement, sous forme d’un Plan National sous la responsabilité d’un seul responsable Haut-Commissaire au plan.
C’est la seule méthode réaliste de bonne gestion administrative et politique pour que les citoyens enfin, puissent enfin espérer sauvegarder notre Bien Commun.
NOUS DEVONS CHANGER NOTRE FAÇON DE PENSER POUR CHANGER NOTRE FAÇON D'AGIR POUR CHANGER NOTRE AVENIR. C'EST NOTRE SEULE SOLUTION POUR PRESERVER NOTRE PLANETE !
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