IMPARFAIT ? OUI, PARFAITEMENT
© Par Olivier ALERS
Publié le 25 Avril 2023
Nous assistons depuis la dernière décennie à une augmentation très sensible des phénomènes de dérèglements climatiques par des changements et des précipitations plus récurrents que les dernières études scientifiques sur le passé. Toujours d’après ces scientifiques l’une des causes principales est les excès de l'agriculture, de la production d'énergie, des transports et de l’industrie.
Ces dérèglements entraînent une modification sensible des flux météorologiques par des canicules et des sécheresses à répétitions.
La prise de conscience a commencé à produire les premières réactions des dirigeants politiques de la planète, au vu des dernières catastrophes naturelles de ces dernières années. Malgré quelques dirigeants iconoclastes qui ne voulent pas voir la réalité du phénomène par incompétence et par inconséquence économique à très court terme. Ce sujet géopolitique qui est devenu très récidivant.
Le bon-sens finit toujours par avoir le dessus sur les extravagances des uns et des autres qui se disputent ce chantier primordial demandant avant tout : discernement et compétence. De nombreux sujets d’intérêts général deviennent polémiques et sont très souvent oubliés et non traités. C’est la sanction de toute utilisation politicienne qui dessert le sujet, par le désintérêt des citoyens ne voyant pas la solution raisonnable et acceptable à venir.
LA CRISE DE L’EAU à titre d’exemple c’est : les risques, sa gestion, sa qualité, sa quantité et surtout sa pérennité. Tous les experts pour une fois sont d’accords pour nous Alerter. Le risque est flagrant pour l’eau sa pénurie et sa qualité pour les catégories qui l’utilisent, réparties en 3 secteurs dans notre pays. Selon la FAO, la disponibilité en pourcentage d’Eau Douce est de :
Ces dérèglements entraînent une modification sensible des flux météorologiques par des canicules et des sécheresses à répétitions.
La prise de conscience a commencé à produire les premières réactions des dirigeants politiques de la planète, au vu des dernières catastrophes naturelles de ces dernières années. Malgré quelques dirigeants iconoclastes qui ne voulent pas voir la réalité du phénomène par incompétence et par inconséquence économique à très court terme. Ce sujet géopolitique qui est devenu très récidivant.
Le bon-sens finit toujours par avoir le dessus sur les extravagances des uns et des autres qui se disputent ce chantier primordial demandant avant tout : discernement et compétence. De nombreux sujets d’intérêts général deviennent polémiques et sont très souvent oubliés et non traités. C’est la sanction de toute utilisation politicienne qui dessert le sujet, par le désintérêt des citoyens ne voyant pas la solution raisonnable et acceptable à venir.
LA CRISE DE L’EAU à titre d’exemple c’est : les risques, sa gestion, sa qualité, sa quantité et surtout sa pérennité. Tous les experts pour une fois sont d’accords pour nous Alerter. Le risque est flagrant pour l’eau sa pénurie et sa qualité pour les catégories qui l’utilisent, réparties en 3 secteurs dans notre pays. Selon la FAO, la disponibilité en pourcentage d’Eau Douce est de :
- Eau Agriculture = 70 %
- Eau Industrie & Energie + 20 %
- Eau Domestique + 10 %
Aujourd’hui il faut impérativement & raisonnablement gérer ce Trésor désigné « l’Or Bleu ».
Cet élément inestimable est devenu dorénavant en danger vital !
Pour mémoire en mai 2015 nous avons été victimes sur notre Région Centre Loire d’une crue centenaire aux conséquences importantes mais gérées convenablement. Le phénomène de ce cycle était prévisible. Mais fin mai 2016 sans alerte météo, une crue catastrophique et très dévastatrice a surgi de l’amont avec violence balayant tout sur son passage. De plus la lenteur des décisions des autorités n’est plus légendaire, elle s’aggrave encore si nous sommes en weekend et plus en période de vacances. Donc aucun avis ni pour les élus et ni pour les riverains qui sont à chaque fois les sinistrés et les victimes économiques.
Depuis 2020 au contraire nous sommes soumis à nouveau exceptionnellement à une situation par une sècheresse considérable de nos rivières et de nos nappes phréatiques, qui entrave toute la vie au quotidien de notre région et pratiquement notre pays.
Ces évènements là aussi, mettent en lumière le manque non seulement d’anticipations mais aussi des graves lacunes de nos systèmes de gestion de l’Eau par les pouvoirs publics et leur services en charge de ce secteur. Il est à noter que nos Élus locaux sont exclusivement dépendants d’un nombre hétéroclite de services de l’état dépositaires de l’autorité, et ne pouvant agir seulement qu’après instruction de ceux-ci. La problématique récurrente jusqu’à présent, est qu’ils interviennent après la crise et non avant pour justement l’anticiper.
Aujourd’hui, la seule autorité décisionnaire est l’État. C’est le préfet et sa Préfecture.
Autre mission pour éviter le risque ultime : Le Jour Zéro ! C’est à dire plus d’eau disponible.
Il est grand temps que la prise de conscience de l’intérêt général remplace au plus vite la débauche de paroles, des mots, de discours et de réunionite pour être actif efficacement au service des citoyens parfaitement pour sortir de l’approximation et des palabres sans fin qui soulignent l’attitude imparfaite et le comportement de nos politiques français et de l’administration défaillante.
Depuis 2020 au contraire nous sommes soumis à nouveau exceptionnellement à une situation par une sècheresse considérable de nos rivières et de nos nappes phréatiques, qui entrave toute la vie au quotidien de notre région et pratiquement notre pays.
Ces évènements là aussi, mettent en lumière le manque non seulement d’anticipations mais aussi des graves lacunes de nos systèmes de gestion de l’Eau par les pouvoirs publics et leur services en charge de ce secteur. Il est à noter que nos Élus locaux sont exclusivement dépendants d’un nombre hétéroclite de services de l’état dépositaires de l’autorité, et ne pouvant agir seulement qu’après instruction de ceux-ci. La problématique récurrente jusqu’à présent, est qu’ils interviennent après la crise et non avant pour justement l’anticiper.
Aujourd’hui, la seule autorité décisionnaire est l’État. C’est le préfet et sa Préfecture.
Autre mission pour éviter le risque ultime : Le Jour Zéro ! C’est à dire plus d’eau disponible.
Il est grand temps que la prise de conscience de l’intérêt général remplace au plus vite la débauche de paroles, des mots, de discours et de réunionite pour être actif efficacement au service des citoyens parfaitement pour sortir de l’approximation et des palabres sans fin qui soulignent l’attitude imparfaite et le comportement de nos politiques français et de l’administration défaillante.
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