COMPRENDRE POUR SAVOIR FAIRE !
© Par Olivier ALERS
Publié le 04 Mars 2024
Depuis de trop nombreuses années il y a toujours continuité par ces élites dans la confusion des décisions, et les discours symboliques ou des fanfaronnades, contredits par la réalité, mais surtout par des actes inconséquents.
La difficulté sur le terrain des politiques issus de ces clubs élitistes, c’est d’être compris mais surtout de comprendre les attentes et les besoins de la population. Il n’est pas surprenant pour la France périphérique comme en régions de constater au rejet de cette classe politique, qui s’approprie tout sujet de façon monolithique souvent avec arrogance et suffisance. « De ceux qui savent mais qui ne comprennent rien ! »
Les communicants ont remplacé les sachants qui se sont mélangés : untel est un jour inspecteur des finances, le lendemain ministre, puis dirigeant d’une entreprise du CAC40, puis député, puis intervenant sur à peu près tous types de sujets, sur les plateaux de télévision.
Autre élément qui amplifie le phénomène oligarchique : les élites scientifiques, après des postes « de terrain » ont eu seulement la prédominance d’arriver à de très hautes responsabilités.
Pour l’élite managériale la logique est inversée : après des études extrêmement coûteuses, l’évaluation peut être bien plus subjective et les postes occupés en sortie d’école sont directement des postes de direction, sans réelle expérience significative « terrain ».
C’est le cas pour l’environnement qui ne peut avoir une consonance partisane que d’une seule classe !
Pour les habitants, les débats idéologiques et partisans sont bien loin de leur préoccupation. Ils ont la volonté d’être seulement protégé de leurs biens comme de leurs familles. Ils ont pleinement conscience, du risque environnemental et de sa dégradation, particulièrement au niveau de la qualité de l’eau et de l’air.
Ils ne croient plus aux assurances, ni des autorités ni des politiques. Il est donc indispensable pour chacun de s’informer, d’étudier, de consulter, d’écouter, de comprendre, par le dialogue pour se forger une opinion la plus objective et raisonnable possible sur ce sujet extrêmement préoccupant.
L’incompréhension entre les citoyens et les autorités politiques n’est que la résultante du manque de Connaissance trop souvent réciproque, issue de la manipulation et de l’ignorance.
La colère de la rue, ne peut jamais se substituer à la confrontation des idées, ni au débat participatif des contraires, sauf à détruire l’équilibre précaire d’une construction novatrice.
Tout intervenant du public et du privé se doit de rechercher l’intérêt général, il faut avoir la volonté de trouver un compromis équitable et tout mettre en œuvre pour atteindre cet objectif, par la bonne compréhension de toutes les composantes culturelles des citoyens et non celles de son origine socioprofessionnelle.
L’intérêt général n’appartient à aucune catégorie, ni clan, ni classe, ni case, ni liste. Il est notre propriété, il est notre bien commun. Il se cultive et se défend. Sans cette démarche constructive, la solution reste polémique, chargé d’intrigues et de faux semblants pour aboutir dans le temps, au contraire de la solution. Sans éviter le danger immédiat, comme le démontre la crise de nos agriculteurs soutenus par plus de 90% des Français.
La difficulté sur le terrain des politiques issus de ces clubs élitistes, c’est d’être compris mais surtout de comprendre les attentes et les besoins de la population. Il n’est pas surprenant pour la France périphérique comme en régions de constater au rejet de cette classe politique, qui s’approprie tout sujet de façon monolithique souvent avec arrogance et suffisance. « De ceux qui savent mais qui ne comprennent rien ! »
Les communicants ont remplacé les sachants qui se sont mélangés : untel est un jour inspecteur des finances, le lendemain ministre, puis dirigeant d’une entreprise du CAC40, puis député, puis intervenant sur à peu près tous types de sujets, sur les plateaux de télévision.
Autre élément qui amplifie le phénomène oligarchique : les élites scientifiques, après des postes « de terrain » ont eu seulement la prédominance d’arriver à de très hautes responsabilités.
Pour l’élite managériale la logique est inversée : après des études extrêmement coûteuses, l’évaluation peut être bien plus subjective et les postes occupés en sortie d’école sont directement des postes de direction, sans réelle expérience significative « terrain ».
C’est le cas pour l’environnement qui ne peut avoir une consonance partisane que d’une seule classe !
Pour les habitants, les débats idéologiques et partisans sont bien loin de leur préoccupation. Ils ont la volonté d’être seulement protégé de leurs biens comme de leurs familles. Ils ont pleinement conscience, du risque environnemental et de sa dégradation, particulièrement au niveau de la qualité de l’eau et de l’air.
Ils ne croient plus aux assurances, ni des autorités ni des politiques. Il est donc indispensable pour chacun de s’informer, d’étudier, de consulter, d’écouter, de comprendre, par le dialogue pour se forger une opinion la plus objective et raisonnable possible sur ce sujet extrêmement préoccupant.
L’incompréhension entre les citoyens et les autorités politiques n’est que la résultante du manque de Connaissance trop souvent réciproque, issue de la manipulation et de l’ignorance.
La colère de la rue, ne peut jamais se substituer à la confrontation des idées, ni au débat participatif des contraires, sauf à détruire l’équilibre précaire d’une construction novatrice.
Tout intervenant du public et du privé se doit de rechercher l’intérêt général, il faut avoir la volonté de trouver un compromis équitable et tout mettre en œuvre pour atteindre cet objectif, par la bonne compréhension de toutes les composantes culturelles des citoyens et non celles de son origine socioprofessionnelle.
L’intérêt général n’appartient à aucune catégorie, ni clan, ni classe, ni case, ni liste. Il est notre propriété, il est notre bien commun. Il se cultive et se défend. Sans cette démarche constructive, la solution reste polémique, chargé d’intrigues et de faux semblants pour aboutir dans le temps, au contraire de la solution. Sans éviter le danger immédiat, comme le démontre la crise de nos agriculteurs soutenus par plus de 90% des Français.
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